Thierry Chartier

Comment es-tu venu à la percussion ?

La percussion est venue à moi vers 12 ans, sur les tables d’école. Je voulais au départ être batteur, mais je ne pouvais pas m’ acheter une batterie. A l’âge de 18 ans, un ami m’a invité à un cours de percussions Congolaises, je suis resté scotché.

Mon maître en percussion Africaine est Mamady Keita, et en percussions Latines, c’est Giovanni Hidalgo.

Qu’est ce que qui t’attires dans la musique de SANTANA ?

Le violon… plus sérieusement, j’ai fait mes premières armes de percussions sur les disques de SANTANA, le mélange percu/rock a été une révélation pour moi, et aujourd’hui, c’est un rêve d’enfant qui s’accomplit.